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L’Ecole de l’Ombre à la Lumière – interview de Muriel Siron

Rencontre en 2018 avec l'École de l'Ombre à la Lumière autour de mon parcours, mon métier d’astrologue numérologue, mes intuitions et mon livre « Et si tout n’était pas écrit ? »

  • Qui je suis ?

Je suis Astrologue et numérologue. Les éditions Trédaniel / Exergue ont publié mon ouvrage «  Et si tout n’était pas écrit ? ». J’y propose une sorte de boîte à outils de techniques pour affronter les aléas de la vie.

Je m’appelle Muriel Siron. Je suis une personne profondément vivante et réceptive. Un hypersensible – aux lieux et aux gens –  à ce que les personnes dégagent, tant sur le plan positif que négatif. Je suis un être tout à fait normal et qui se sent totalement connecté à l’autre.

  • Le titre de votre 1er livre « Et si tout n’était pas écrit ? » est évocateur. De quoi cela parle-t-il ?

Dans « Et si tout n’était pas écrit ? » (Éditions Exergue) je parle beaucoup du LIBRE ARBITRE.
Et heureusement que nous l’avons ce libre arbitre, cela veut dire que nous pouvons faire des choix dans la vie. Pour moi le principe de bonne ou mauvaise étoile n’existe pas !

Selon moi, on choisit ses parents, son lieu et sa date de naissance. La vie est tel un jeu de cartes : on peut avoir un jeu magnifique, arriver dans un parfait environnement… et ne rien faire de bon. Si toute votre histoire était écrite, ce pourrait être difficile et c’est tout l’intérêt de la vie : on peut en faire une belle aventure si on le souhaite.

Je pense également que nous fixons notre heure de départ, que nous la définissons à l’avance en quelque sorte.
Nos parents influencent notre caractère à travers le prénom qu’ils nous donnent… Ainsi, nous aurons tout un potentiel vibratoire à partir de ce prénom et qui souvent sera complémentaire à notre ciel astral.

En conclusion : le programme de notre vie future est entre nos mains.

  • Un parcours atypique

Ce parcours s’est imposé à moi comme une évidence !
Enfant, j’ai très vite compris que je captais le monde de l’invisible et des non-dits. Notre inconscient envoie et reçoit 2000 infos à la seconde. Il nous transmet à tous ces signaux : certains y prennent attention, d’autres moins.

Très jeune, je me suis intéressée à l’astrologie, car je trouvais que c’était un bel outil pour comprendre les autres. Ensuite j’ai cherché et appris tout ce qui pouvait me permettre de décoder une personne et surtout valider ce que je ressentais : les lignes de la main, l’étude du prénom, des chiffres qui le composent, la morphopsychologie, le thème astral … J’ai passé ma vie à apprendre des techniques qui permettent d’amplifier le libre arbitre : aujourd’hui, j’utilise plusieurs outils, dont l’hypnose, le système PEAT (travail sur la dualité) qui permettent d’optimiser la vie.

Mon job c’est de voir la météo et l’état de la route, la circulation… Parfois il fait beau, parfois il y a des bouchons et parfois la route est dégagée… Alors mon travail c’est d’aider les autres à passer différentes étapes dans les meilleures conditions.

  • En astrologie, n’est pas le psychisme de celui qui interprète qui compte ?

Évidemment ! Il y a des tas d’astrologues et chacun interprète les astres à sa façon, même si nous avons le même mode d’emploi sur le plan technique. L’astrologie est pour moi un prétexte pour me sécuriser, un trampoline pour être plus connectée avec l’autre côté, de même pour les prénoms et les chiffres.

Quand je suis en consultation, je suis dans le « non-temps ». Avant une consultation, je suis liée psychiquement à la personne que je vais recevoir. C’est un état d’empathie étonnant que je ne m’explique toujours pas. Cette sensibilité me dépasse encore aujourd’hui et je ne sais pas d’où elle vient. Après la consultation, en général, je ne me souviens de rien…

Pour moi nous sommes tous plus ou moins médiums. Il y a des gens qui y font attention et d’autres qui s’en fichent. Par exemple ma mère était très connectée mais elle n’en avait pas du tout conscience. Sa vie à elle avait d’autres priorités, elle donnait plein d’amour mais elle devait s’occuper de sa famille et n’avait ni d’intérêt, ni de temps pour cela.

  • Quels conseils donneriez-vous à quelqu’un qui veut exercer le même métier que vous ?

D’abord, en ce qui me concerne je n’ai jamais voulu exercer ce métier, je ne sais d’ailleurs pas trop comment le définir et c’est juste une prolongation de moi.
Ma passion c’est l’être humain, la connexion à l’au-delà. Passionnée d’ésotérisme, je me suis posé des questions sur l’après-vie et je me suis toujours demandé où vont nos disparus, où sont-ils ? Aujourd’hui, je me connecte avec certains.

Je ne peux pas donner de conseil pour faire ce métier car je ne me suis jamais dit que je voulais faire ce métier et ça aurait vraiment été un manque d’humilité de ma part.
Quand j’ai débuté, de plus en plus de gens sont venus en consultation et c’est comme cela que tout a commencé.

Encore aujourd’hui je suis incapable de nommer précisément mon métier, je n’ai pas vraiment d’étiquette, en gros j’ai envie de dire « J’ai pas fait exprès ». Je pense vraiment que c’est une vocation.

  • Que signifie le mot destin pour vous ? 

Je pense à l’âme et à l’humain.
L’âme sait tout et elle sait ce qu’elle veut. Mon âme à moi a décidé de vivre dans cette famille.

Encore aujourd’hui j’ai beaucoup de respect pour cette âme. La mienne je l’ai rencontrée trois fois : en lumière, par la voix car je l’ai entendue une nuit et puis physiquement : c’est une femme et je l’adore. Je ne suis que son enveloppe et je me connecte avec elle toutes les nuits.

L’âme décide de vivre une expérience sur terre, en s’incarnant dans un corps pour y faire une expérience humaine. Elle revient avec plus ou moins d’expérience, certains sont de jeunes âmes et d’autres de vieilles. Elle nous laisse le libre arbitre : la mienne me dit « débrouille-toi, moi je suis là et je serais toujours là ».
Notre âme à chacun est divine, connectée à des puissances exceptionnelles.
Je ne suis d’aucune religion mais tout m’intéresse pourvu que ce soit une connexion avec la lumière.

Pour moi la réalité c’est la lumière, l’amour inconditionnel.

  • Votre livre « Et si tout n’était pas écrit ? » redonne le pouvoir aux personnes

Le plus important dans la vie c’est que chacun ait des outils pour vivre mieux !

Ce qui m’intéresse c’est de donner des outils simples et puissants, à utiliser dans tous les lieux et à tout moment, et surtout dans des périodes plus difficiles.
Plus on donnera de clés, plus on pourra allumer de flammes et plus notre humanité sera éclairée.

 

  • Dans notre réalité actuelle, le monde est plutôt « verre à moitié plein » ou son contraire ?

Je suis quelqu’un d’optimiste et je préfère regarder le verre d’eau à moitié plein !

C’est chronique chez moi, c’est une obligation, même dans les pires moments. Je me pose toujours la question « Que m’arrive-t-il de positif dans le négatif ? »
Si on est sur terre c’est parque qu’on l’a choisi, personne ne nous y a forcés.

La vie est un jeu et quand on sort du jeu – que l’on meurt –  et qu’on se retrouve de l’autre côté on se dit « si j’avais su »…
Les gens qui partent avant peuvent nous aider, nous guider pour continuer à gagner la partie. Si nous avons décidé de nous incarner ici et maintenant c’est qu’on l’a choisi. Et si nous avons réussi à en avoir un corps, à nous incarner sur Terre, c’est une sacrée chance … même si parfois la partie est difficile alors, oui ! Il faut toujours aller de l’avant !

 

Merci aux étudiants de l’Ecole de l’Ombre et de la lumière

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La loutre est l’animal totem préféré d’Angèle, qui correspond au signe du verseau. La loutre est un animal libre, gracieux, fantaisiste, farfelu, inventif, joueur, joyeux et qui aime la liberté…

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